Books Articles Curating Conférences Web Sites Interviews Catalogues |
Entretiens |
Une vie d'artiste par Aurélie Charon : Numéro 40. Territoires, colère et beauté avec Rina Sherman et Justine Bo |
 |
Art et création
Aurélie Charon
le lundi de 23h à minuit
Rina Sherman a rencontré Jean Rouch en 1984, elle dirige un ouvrage de témoignages et d'essais "Dans le sillage de Jean Rouch". Justine Bo décrit la colère d'une jeune femme du nouveau millénaire dans son roman "Si nous ne brûlons pas". CANINE est une meute, un collectif en live en studio.
Jean Rouch lui disait : j’ai appris le mouvement perpétuel presque en naissant. Et même en filmant, il n’a pas lâché le mouvement. Rina Sherman partie le rencontrer en 1984 avait été happée par une de ses phrases, il avait dit : on ne prétend pas filmer le réel, on filme le réel provoqué par sa présence et la caméra. Alors on aurait un impact sur le réel. Alors notre présence agit. Justine Bo fait du réel une grande fiction, elle écrit. Comme Jean Rouch qui dans son café parisien mettait sa table en diagonale face au Boulevard à Port Royal, pour cadrer la réalité. On n’est donc plus assigné à résidence, on est hors de soi, en colère, et on agit sur le réel en le racontant |
Rina Sherman, cinéaste, ethnographe et photographe.
Elle dirige l’ouvrage Dans le sillage de Jean Rouch (éd. de la Maison des Sciences de L’Homme, coll. 54), qui sera l’objet d’une journée de projections-discussions le jeudi 07 juin à la bibliothèque-laboratoire de la Fondation Maison des Sciences de l’Homme : Swimming the Blues avec Jean Rouch (extraits inédits), un film & bréviaire de Rina Sherman + Jean Rouch, cinéaste africain, un documentaire d’Idrissa Diabaté. Le livre réunit des essais, des expériences et des témoignages d’ethnologues ou cinéastes, pour qui Jean Rouch a été, comme pour Rina Sherman, une figure décisive. En 1983, elle découvre l’œuvre de Jean Rouch. Sa vie prend un tournant. Elle le sait et quittera très vite l’Afrique du Sud, sa terre natale, pour aller à la rencontre de celui qui deviendra un maître, un compagnon de recherche (il dirige sa thèse), un ami. |
NIEPCEBOOK N°04 / Corridor Elephant |
|
|
 |
NIEPCEBOOK N°04 / Corridor Elephant
Contribution : Rina Sherman Photographies & entretien
Édition limitée et numérotée |
|
France Culture : La Conversation scientifique / Etienne Klein
L’ethnologie ou l’art d’être hôte sans avoir été invité Invitée : Rina Sherman 2015/10/31 |
 |
France Culture
La Conversation scientifique / Etienne Klein
L’ethnologie ou l’art d’être hôte sans avoir été invité
Invitée : Rina Sherman
Il n’y a pas de peuples « primitifs », mais des sociétés qui nous sont contemporaines, qui se sont développées parallèlement aux nôtres, avec leurs moyens propres. Elles ne se caractérisent pas par une « mentalité » close, mais mettent en œuvre une pensée qui est aussi la nôtre dès lors que nous cessons de penser comme des scientifiques. Irriguée de magie et de mythes, cette pensée ne s’attache pas moins à analyser, distinguer, classer, combiner, opposer, par des jeux de relation étonnamment précis et systématiques qui reflètent les propriétés du réel tel qu’il s’offre à la sensibilité et à l’intelligence.
Mais des questions se posent : comment parvient-on à connaître ces peuples qui sont si différents de nous ? Comment espérer comprendre ces sociétés sans projeter sur elles toutes sortes de représentations préalables ? Leurs comportements, leurs façons de se montrer, de se raconter, ne dépendent-ils pas de façon cruciale de nos propres façons de les approcher, de les contacter, de les regarder ? À quelle bonne distance l’ethnologue doit-il se placer pour espérer produire de l’objectivité ? |
France Culture
La Conversation scientifique / Etienne Klein
L’ethnologie ou l’art d’être hôte
sans avoir été invité
Invitée : Rina Sherman
|
France Culture Backstage / Aurélie Charon
Numéro 75. Cabaret chez Michou, avec Rina Sherman |
 |
France Culture Backstage / Aurélie Charon
Numéro 75. Cabaret chez Michou
- Michou, (Michel Catty) qui depuis 1956 tient son cabaret avec une revue transformiste, dans son cabaret au 80 rue des Martyrs à Paris.
– Les artistes transformistes Oscar (Amy Winehouse, Maria Callas) et Lulu (Dalida, depuis 42 ans)
– Rina Sherman, ethnographe et cinéaste, qui depuis trois ans suit Michou et filme les déjeuners de personnes âgées qu’il organise chaque mois dans son cabaret.
|
|
ACTUPHOTO : Rina Sherman et ses années Ovahimba
« Je suis partie pour 6 mois, et je suis restée 7 ans » Par Emilie Lemoine, le 22 octobre 2015 |
 |
ACTUPHOTO : Rina Sherman et ses années Ovahimba
« Je suis partie pour 6 mois, et je suis restée 7 ans »
Par Emilie Lemoine |
|
RFI : Reportage Culture
« Les années Ovahimba », exposition de Rina Sherman à la BNF François Mitterrand Par Sarah Tisseyre Diffusion : dimanche 75 octobre 2015 |
 |
RFI : Reportage Culture
« Les années Ovahimba » /
exposition de Rina Sherman
BNF
Par Sarah Tisseyre Diffusion : dimanche 75 octobre 2015
Sous le titre Les années Ovahimba, l'ethnographe Rina Sherman expose à la Bibliothèque François Mitterrand jusqu'au 15 novembre les souvenirs de ses 7 années passées chez les Ovahimba, à la frontière entre la Namibie et l'Angola. Egalement photographe et cinéaste, elle a en effet confié toutes ses archives l'an dernier à la BNF pour assurer leur conservation.
|
|
24 Heures Chrono de l'international – Luanda – 9ème saison – TV5 Monde
14 janvier 2015 |
 |
|
|
Les Cafés d'AnneCom
Café Débat : Les années Ovahimba / Rina Sherman Le 14 Octobre à 19h30 au Gai Moulin |
 |
Les Cafés d'AnneCom
Café Débat : Les années Ovahimba / Rina Sherman
Le 14 Octobre à 19h30
au Gai Moulin, 10 Rue Saint Merri, 75004 Paris, France
Ethnographe, cinéaste et photographe, Rina Sherman a vécu pendant sept ans au sein d’une communauté Ovahimba d’Afrique australe. Au cours de ces années, elle a rassemblé un riche fonds d’images vidéo, de photographies, de notes et de dessins qu’elle a choisi de donner à la BnF. A travers l’humanité du regard de l’ethnographe, l’exposition multimédia qui lui est consacrée livre un témoignage unique sur le temps du quotidien de cette société d’éleveurs de bœufs et son patrimoine culturel immatériel. Une expérience partagée à découvrir à la Bibliothèque. |
|
|
 |
Chroniques – BnF
Les années Ovahimba |
|
|
 |
|
|
|
 |
Tribal Truth: The Ovahimba Years / Rina Sherman
James Ferrari's Blog, 17/10/2012 |
|
|
 |
Que la danse continue – Keep the Dance Alive
Des sept années passées "chez les Ovahimba", Rina Sherman a rapporté une grande quantité d'images sur lesquelles elle travaille au quotidien pour nous faire découvrir toute la richesse de ces peuples Ovahimba, Ovadhimba, Ovahakaona, Ovagambwe, Ovakuvale et Ovatua qui tous partagent une même culture, un même système de pensée.
Son dernier film intitulé : « Keep the Dance Alive – Que la danse continue » porte sur les pratiques de musique, de danse et de transe de possession des groupes de langue Otjiherero du nord-ouest namibien et du sud-ouest angolais.
La discussion avec l'auteur met en exergue les grands thèmes traités dans le film qui explore les différentes façons dont la musique et la danse transcendent la vie quotidienne de ces peuples de leur petite enfance jusqu'à leur mort. AAR 2h05, 2007
REGARDER
|
|
Sept années chez les Ovahimba
Archives Audiovisuelles de la Recherche
Mise en ligne par la Fondation Maison des Sciences de l'Homme – Canal U d'entretiens sur l'étude « Les années Ovahimba ». |
 |
Sept années chez les Ovahimba
Rina Sherman revient dans cet entretien sur son expérience de terrain chez les Ovahimba avec qui elle a passé de nombreuses années. Elle nous explique la complexité des relations avec les Ovahimba, son rapport avec la langue locale, son approche en anthropologie visuelle et nous parle également des pratiques musicales de ce peuple. AAR 1h50, 2006
REGARDER
|
|
Jean Rouch vu par Rina Sherman
Sciences Humaines, Mensuel N° 196, Août-septembre 2008 |

|
|
|
Interview with Rina Sherman, Director of Keep the Dance Alive
Divine Caroline, November, 2007 |
 |
Interview with Rina Sherman, Director of "Keep the Dance Alive"
JB: How difficult was it to gain the trust of Ovahimba people to begin this project?
RS: The social obligation of the Ovahimba culture to welcome visitors and not ask them when they intend to leave does not necessarily correlate with any level of acceptance of such visitors.
READ
|
|
Que l’honneur et la réputation de Didier Contant soient rétablis
Le Soir d'Algérie, Samedi 03 Octobre 2009 |
 |
Interwiew express de Rina Sherman,
compagne de Didier Contant :
Que l’honneur et la réputation de Didier Contant soient rétablis
Le Soir d’Algérie : Quelle est l’impression que vous a laissé le déroulement du procès de jeudi ?
Rina Sherman : C’était une audience à juge unique pour des raisons juridiques de droit français et contenue dans le temps d’une matinée.
Nous étions tous un peu frustrés du manque de temps accordé à chacun, et ce après cinq ans de bataille juridique pour arriver à une audience publique. Néanmoins, pour la mémoire et l’honneur de Didier Contant,pour le droit et pour la déontologie des journalistes, il est très important que cette audience publique ait eu lieu. Pour que les faits et gestes de Jean-Baptiste Rivoire à l’encontre de son confrère Didier Contant soient connus et que la dignité de ce grand reporter soit rétablie. Le fait qu’un journaliste ait mis en examen et renvoyé devant le tribunal correctionnel pour violences volontaires préméditées envers un confrère est très important pour la jurisprudence et la déontologie.
LIRE
|
|
Rina Sherman se confie aux Débats : Les méfaits d’un lobby,
Les Débats Semaine du 22 au 28 juillet 2009 |
 |
Rina Sherman se confie aux Débats :
Les méfaits d’un lobby
Les Débats : Parlez-nous de Rina Sherman, sa carrière, son parcours...
Rina Sherman : Je suis une Afrikaner française. Je suis née à Cape Town. Mes grands-parents avaient des fermes respectivement dans le sud du désert du Kalahari et dans l’ancienne région de Bechuanaland. Enfant, mon père et mes oncles participaient à des parties de chasse en compagnie des anciens chefs du Botswana.
Mes parents faisaient partie d’une élite qui œuvrait pour maintenir au pouvoir un régime basé sur la ségrégation raciale. Jeune adulte, devenue consciente du fait que la vaste majorité des citoyens du pays n’avaient aucun droit, je me suis révoltée, au sein de ma famille et de ma communauté, contre l’hégémonie d’une mentalité qui tentait de nous persuader que nous, les Blancs étions supérieurs et méritions de vivre séparé des « non-blancs ».
LIRE
|
|
France Info – Régis Picart – Aventuriers
Le 18, avril 2009 |
 |
France Info – Régis Picart – Aventuriers :
Rina Sherman
Elle était partie pour six mois. Elle est revenue sept ans plus tard. Rina Sherman a passé sept années de son existence avec les Ovahimba, à la frontière de la Namibie et de l’Angola. D’origine Sud-Africaine, Rina Sherman s’est installée en France au milieu des années 80. Elève de Jean Rouch, à la Sorbonne, elle obtient son doctorat d’anthropologie et décide de réaliser sa première mission de terrain chez ce peuple d’éleveurs de bœufs. Elle raconte cette expérience dans un livre paru chez k éditeur : Ma vie avec les Ovahimba (2e éd. rév.).
ECOUTER
|
|
RFI En sol majeur
Le 8 septembre 2009 |
 |
RFI En sol majeur – Rina Sherman
Née en Afrique du Sud, Rina Sherman s'est exilée et installée en France en 1984. Elle a obtenu un doctorat sous la direction de Jean Rouch à la Sorbonne. Elle est également cinéaste, photographe et anthropologue, lauréate du Prix Médicis « Hors les murs » et de la Bourse Lavoisier pour ses recherches dans les archives cinématographiques en Afrique Australe, et sur les Ovahimba et peuples parents de la Namibie et de l'Angola.
1e Partie ECOUTER
2e Partie ECOUTER
En sol majeur – Après coup
J'ai deux amours + d'INFO |
|
Radio Africa No. 1 Africa Mix |
 |
|
|
Le Cinématon de Gérard Courant |
 |
Cinématon N°1770 Rina Sherman
Pays : France / Afrique du Sud. Profession : cinéaste.
Fait à La Courneuve (France) le 16 septembre 1995 à 17 heures 35.
Se détache à partir de 1978, une impressionnante série d’autoportraits assistés, en plans fixes de 3’ 25’’, d’amis et de personnalités diverses. Dépassant le millier dès 1988 et flanqués de séries conjointes (Portrait de groupe, Couple, Lire), ces Cinématons font de lui un témoin sympathique de la vie cinématographique de cette fin de siècle.
|
|
Anecdotes (Stories From Childhood) by Phill Niblock |
 |
Anecdotes (Stories From Childhood)
Phill Niblock
Between 1985 and 1992 composer and filmmaker Phill Niblock, during his global journeys, asked a number of people (relatives, friends, accidental acquaintances) to spontaneously relate childhood memories in front of a video camera. The composition of the steady image remained the same for all ‘portraits’: only the head appears, slightly off center, with a backdrop varying from landscape to room to wall. The subject was asked to look into the static camera and thus directly address the viewer.
Soon to be released in an overview of Phill Niblock's work by Presses du réel.
“No phase can be arrested and held. It can only be generated anew again and again.”
— Edmund Husserl in On the Phenomenology of the Consciousness of Internal Time
MORE
More about composer and filmmaker Phill Niblock
|
|